Activité complémentaire en Belgique, quel est le plafond à ne pas dépasser ?
Prêt à augmenter vos revenus complémentaires en Belgique, découvrez le plafond respectable ! Bienvenue dans le monde des activités complémentaires en Belgique ! Si vous envisagez de gagner un revenu complémentaire tout en respectant les réglementations fiscales et sociales, vous êtes au bon endroit. On vous explique les limites à ne pas dépasser pour les activités supplémentaires en Belgique.
Limite mensuelle et annuelle
La Belgique a des normes annuelles et mensuelles pour les activités complémentaires rémunérées, permettant aux gens de gagner de l’argent sans payer d’impôts ni de cotisations de sécurité sociale. Ces seuils varient selon l’année et le type d’activité.
Limite annuelle pour toutes activités complémentaires :
En 2019 : 6 250 euros par an
En 2020 : 6 340 euros par an
Limite mensuelle pour la plupart des activités complémentaires :
En 2019 : 520,83 euros par mois
En 2020 : 528,33 euros par mois
Pour les activités sportives dans le cadre du travail associatif :
En 2019 : 1 041,66 euros par mois
En 2020 : 1 056,66 euros par mois
Quelle que soit l’activité que vous entreprenez, il est important de rappeler que le plafond annuel de 6 340 euros reste en vigueur. Si vos revenus dépassent ces seuils, vous pourriez devoir payer des cotisations sociales et des impôts en Belgique. Ces règles visent à encourager les activités complémentaires tout en garantissant que les petits revenus ne soient pas lourdement imposés.
Quels revenus supplémentaires échappent à l'obligation de déclaration fiscale ?
Les revenus complémentaires non déclarés sont des revenus supplémentaires qui ne doivent pas être déclarés au bureau des impôts en raison du nouveau régime de certaines activités supplémentaires. Il est important de respecter les limites de revenus autorisées pour éviter les impôts et les cotisations de sécurité sociale. Si vous dépassez ces limites, même légèrement, tout revenu supplémentaire sera imposable.
Les activités autorisées sont divisées en trois catégories et seuls les revenus supplémentaires provenant de ces activités sont exonérés d’impôt.
Comprennent une variété de travaux tels que l’entretien de la maison, la tonte de la pelouse, aller promener des animaux, les cours particuliers… Cependant, la condition est de rester occasionnel. Les activités régulières telles que tondre la pelouse de votre voisin chaque semaine ou organiser des cours particuliers ne sont pas autorisées.
Des activités complémentaires détaxées sont possibles grâce à des plateformes d’économie collaborative agréées par le fisc, telles que ListMinut, Deliveroo, Uber Eats, Helper, Bijlesbureau et Parcify, permettant de gagner des revenus complémentaires sans être soumis à l’impôt.
Vous pouvez également effectuer une activité complémentaire dans des clubs et administrations sociales et culturelles en tant qu’animateur, entraîneur sportif, responsable de l’entretien des terrains ou encore comme accompagnateur lors de sorties scolaires. Les activités régulières telles que l’entretien hebdomadaire du terrain de football sont autorisées au sein du club. Cependant, il est interdit d’offrir des services professionnels au sein d’une association où l’on est actuellement employé ou où l’on a été employé au cours des douze derniers mois.
Les revenus du travail associatif sont exonérés d’impôt dans la limite de 6 130 euros par an, frais supplémentaires compris. Tous les revenus dépassant cette limite sont imposés comme revenus professionnels. Pour les activités en club ou le travail auprès des particuliers, le plafond mensuel est de 510,83 euros (1 041,66 euros pour certaines activités sportives). Le dépassement mensuel entraîne une imposition professionnelle et compte pour le plafond annuel.
En conclusion, il est important de savoir comment optimiser ses revenus complémentaires en Belgique tout en respectant les normes fiscales et sociales. De plus, pour éviter de payer des impôts, il est avantageux de ne pas dépasser les seuils des différentes catégories auxquelles vous appartenez.